Principal Films J.K. Le 'Je ne suis pas là' de Simmons vous fera regretter de ne pas l'être non plus

J.K. Le 'Je ne suis pas là' de Simmons vous fera regretter de ne pas l'être non plus

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J.K. Simmons dans I

J.K. Simmons dans Je ne suis pas là .Les aventures de la gravité



Je ne suis pas là , à ne pas confondre avec l'horrible Je ne suis pas là (dans lequel un casting des deux sexes a joué Bob Dylan), est une collection de 81 minutes de clichés amateurs mettant en vedette le polyvalent J. K. Simmons comme un alcoolique suicidaire parcourant son passé sans un mot de dialogue. Il a été réalisé par Michelle Schumacher, mieux connue sous le nom de Mme Simmons, la vraie épouse de l'acteur. Dans les salles d'audience d'Hollywood, les divorces ont été accordés pour des motifs moindres que cela.

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Assis dans une pièce sombre avec une arme pointée sur la tête et un répondeur avec le message Je ne suis pas là, Steve Harrison (Simmons) pleure au son des rires de son fils décédé. Le garçon est mort, apprend-on, avec sa mère. Le film explique comment chaque tragédie dans la vie de Steve est le résultat de la consommation d'alcool. Coupé au petit matin du même jour, quand Steve se regarde dans le miroir et voit son jeune, beau et viril lui-même (joué par le plus jeune, beau et viril Sebastian Stan, de moi, Tonya ).


JE NE SUIS PAS ICI
(1/4 étoiles )
Dirigé par: Michelle Schumacher
Écrit par: Tony Cummings, Michelle Schumacher
Avec : J.K. Simmons, Sebastian Stan, Iain Armitage
Durée de fonctionnement : 81 minutes.


En coupant encore plus loin, il y a le jeune Steve à 6 ans ( Jeune Sheldon 's Iain Armitage), en regardant son propre père se boire inconscient. Se balançant entre les trois périodes, on voit le Steve actuel, émacié et à bout de nerfs, se remémorant répéter sans cesse les mêmes erreurs, désormais seul et perdu, téléphoné par sa mère de 90 ans dont voix lui souhaite un joyeux 60e anniversaire. Le but des flashbacks est de faire regretter au spectateur la façon dont Steve a gaspillé sa vie et ignoré les chances d'améliorer ses chances de profiter de ses échecs. Mais le film a déjà fait de Steve un ennui si complaisant dès le départ que, pour ma part, j'ai perdu tout intérêt tôt.

S'apitoyant sur son sort, le vieux Steve se promène dans sa maison vide, touchant des objets qui lui rappellent des incidents tristes du passé (un vélo d'enfant abandonné, une médaille de sobriété des Alcooliques anonymes… vous voyez l'image) pendant que nous vérifions nos montres pour voir combien il reste des 81 minutes. Simmons se morfond et boit en silence avec conviction, mais tout le monde avec le dialogue sort comme des planches de contreplaqué, grâce au scénario plat et unidimensionnel de la réalisatrice et de son partenaire d'écriture, Tony Cummings. Vous attendez une révélation qui pourrait vous faire sentir que vous n'avez pas passé ces 81 minutes en vain. Il ne sert à rien. Par la fin ambiguë, comme le répondeur de Steve, vous n'êtes pas là. Tu es parti il ​​y a longtemps.

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